Où trouve t’on des truffes ? Francesca Marzitelli à l’entreprise Truffes Québec. Il s’agit d’assister, jusqu’au bout si l’on peut, à la deuxième représentation du Poliuto de Donizetti. « Alors même, dit-il, que tout le feuillage latéral de la plante est fané, s’il reste encore au sommet des tiges un bouquet terminal de quelques feuilles, on peut être certain que la plante travaille encore et que chaque jour, par ce petit bouquet terminal, elle fabrique une certaine quantité de matière organique qui, spécialement destinée aux tubercules, peut, même en une quinzaine, augmenter sensiblement le poids et la richesse. Tous les matelots avaient les yeux tournés vers les courants, vers les montagnes d’eau qui assurément devaient être leur tombeau… Krühl, muet et les yeux fixes, suivit docilement son compagnon. Je fis tous mes efforts pour calmer à ce propos son âme inquiète et alarmée. Il en a été question, en Allemagne, en 1870 et 1871, à propos de ce que l’on appelait la Méthode Gülich pour la plantation et la culture de la Pomme de terre. Nous ne trouvons plus de document qui en fasse mention plus tard, et l’on peut dire qu’il a été abandonné, soit que ses résultats n’aient pas été rémunérateurs, en raison du travail particulier qu’il exigeait, soit même qu’il n’ait pas été aussi productif qu’on l’avait estimé à l’origine

Mérimée se sentait isolé et comme étranger au milieu de cette joie renaissante. Garnir le milieu d’un salpicon d’abricots lié de 2 ou 3 cuillerées de marmelade d’abricots. « Il paraît que notre pauvre président a été indignement reçu à Dijon ; je crains qu’il ne le soit plus mal encore à Strasbourg, sans parler de la chance possible d’un coup de pistolet. Dans ses lettres, dans son journal, dans l’Hiver à Majorque George Sand parle de Delacroix constamment avec une profonde et inébranlable sympathie, en guide ultime des truffes termes qui témoignent de son admiration pour son talent, pour son dévouement à son œuvre, pour son exigence sévère envers lui-même et pour la haute idée qu’il se faisait de l’art. Le clergyman lui faisait aimer le capucin, son vieil ennemi. Il ne semble pas que ce fût un hypocrite : c’est par la supériorité de son esprit qu’il avait gagné la bienveillance de M. Guizot, la sympathie de M. Buloz, l’amitié d’hommes comme Jubinal et Mérimée

» Deux labours suffisent assez ordinairement pour disposer toutes sortes de terrains à la culture des Pommes de terre : le premier très profond, avant l’hiver ; le second avant la plantation. Comme l’heure du dîner de famille approchait, nous prîmes congé, non sans avoir reçu de pressantes invitations de revenir avant de quitter le pays. Mais une lettre de lui dit que, dans l'ouvrage de physique, imprimé en grande partie chez son beau-frère avant son départ de Lyon, cette question était particulièrement développée. « Il y a quelques années, dit M. Avignon, j’avais remarqué que la récolte de Pommes de terre était supérieure, dans une partie d’un champ où les tiges de cette plante avaient été couchées par un roulage accidentel, effectué en traversant ce champ avec un rouleau pour se rendre dans une pièce voisine enclavée. En effet, une grande partie des éléments fertilisants (azote, acide phosphorique, potasse etc.), qui doit se fixer dans les tiges, les fleurs, les baies, à la suite du roulage, se dirige aux tubercules et en accélère le développement. Cette divergence dans les opinions des cultivateurs, qui avaient fait l’essai de cette méthode, provenait de l’inégalité même de ces résultats

Quand Louis-Napoléon congédie le général, Mérimée pense qu’il « a coupé sa main droite avec sa main gauche. Mme Mérimée mourut après une maladie de quelques jours, « Vous la connaissiez, écrivait Mérimée. Ce qui soutint Mérimée dans cette épreuve, ce fut surtout, chose singulière ! » Il prenait tristement congé de cette cruelle année où les épreuves intimes s’étaient jointes, pour lui, aux malheurs publics et aux dangers de la rue. Quant à lui, il essayait de reprendre ses travaux littéraires, si longtemps troublés. » Au premier rang de ces amis, empressés à le consoler ou à s’affliger avec lui, étaient Mme de Montijo et ses filles : elles avaient connu personnellement Mme Mérimée, et l’impératrice conserve encore aujourd’hui un souvenir très net et très vil de cette curieuse vieille dame, aussi originale dans ses manières et dans son costume que dans ses opinions. Beaucoup de choses le charmèrent, d’autres lui déplurent : ses lettres à la comtesse de Montijo et à Mlle Dacquin trahissent ces impressions opposées, mais également justes. » Avec les premiers beaux jours du printemps de 1852, il se répandit partout comme une mollesse heureuse ; la gaîté et l’élégance étaient de nouveau dans l’air ; tout ce qui était jeune aspirait avec délices ces souffles tièdes, chargés de parfums