Une recherche rationnelle plonge coté première fois dans l’intimité des jeunes français de 18 à 29 ans. 79 % ont éprouvé une relation dans l’année, mais aussi au sein d'eux deux-tiers ont été en couple, sans nécessairement découvrir sous le même couverture. Globalement, les applis de rencontres sont encore plus convaincants afin de pouvoir les « coups d’un soir » que pour dénicher l’élu (e) de notre cœur. Alors que certains annoncent la mort du couple ou l’avènement d’une génération « no porn », une recherche scientifique (dévorer entouré) sur la vie intime des petits français de 18 à 29 ans tablette que la transparence ailleurs. Menée via Marie Bergström de l’Institut national d’études démographiques (Ined) et Florence Maillochon du CNRS, elle montre que lorsque « l’allongement de la jeunesse » retarde « la mise en place » officielle mais aussi l’arrivée du premier bebe, la vie particulière et sexuelle de cette génération semble pouvoir avant tout « prendre de ces formes multiples ».

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Mais non ce n'est pas que afin de pouvoir le sexe, c’est aussi pour commencer à recevoir de le regard, de l’affection, etc. Pour moi l’affection c’est un peu la le clou du spectacle. Pour toi le bavaroise, c’est le sexe dès lors ? Non mais cependant c’est un bon élément, on ne va pas se abuser. As-tu réussi d’autres collègues libres en premier lieu ? Non, mais par contre on peut dire que celle-ci en a entraîné d’autres. C’est-à-dire que lorsque je rencontre quelqu’un aujourd’hui, je ne mens pas. ainsi quand plancul la dame a envie de me voir régulièrement, on réalise aussi une relation libre. Alors tu as une sorte de foule de collègues, mais aussi celle avec ta compagnon n’est rien d'autre non négligeable que leurs semblables ? Je ne suis pas dans une relation libre, je me vois vraiment dans un couple libre. Personnellement, je gastronomie cette position. Ce couple libre, finalement, c’est un minimum une protection pour pouvoir toi-même ?

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« La mort du couple » n’est pas pour pouvoir sans toujours plus tarder parmi les ados, suivant une recherche de l’Institut national d’études démographiques (Ined). AMOUR - « Relation amoureux », « histoire d’un soir », « sexfriend », « plan cul » … La vie affective peut prendre de ces formes différentes. L’Institut national d’études démographiques (Ined) s’est penché sur les relations intimes de ces moins de 20 ans. Si l'homme de sa vie se maintient la forme relationnelle vocation, le « coup d’un soir » et la « relation suivie » sans - ou bien alors guère - d’attachement amoureux feraient aussi partie de ces options. Première conclusion de l’étude : l'homme idéal le type de relation le encore plus courant au nombre des 15 000 petits de 18 à 29 ans interrogés. Deux tiers de ces ados (66 % des individus interrogées) déclarent se trouver en amoureux au sein des 12 derniers mois. Une « conjugalité » qui est cependant « peu installée mais aussi rarement institutionnalisée », selon l’Ined.